C’est avec la plus grande émotion que je viens d’apprendre le drame qui frappe ce matin la communauté chrétienne des Alpes-Maritimes. Et une fois encore la ville de Nice.
À l’instant où j’écris ces lignes, il semblerait que trois personnes aient été victimes d’un acte terroriste abominable dans les murs de la Basilique Notre-Dame et aux abords, quelques jours après le meurtre sauvage du professeur Samuel Paty.
Quelques semaines seulement après le passage dévastateur de la tempête Alex, mon émoi ne peut être que fort après ce nouveau drame qui endeuille notre diocèse.
Ma tristesse est infinie en tant qu’humain devant ce que d’autres êtres, dits humains, peuvent commettre.
À cet instant, toutes les églises de Nice sont fermées jusqu’à nouvel ordre, et placées sous protection policière.
Toutes mes prières rejoignent les victimes, leurs proches, les forces de l’ordre en première ligne de cette tragédie, prêtres et fidèles meurtris dans leur foi et leur espérance.
Que l’esprit de pardon du Christ prévale face à ces actes barbares.